Quand j'étais jeune, je croyais qu'il y avait certains qu'étaient meilleurs en mathématiques. J'étais bon en maths, et je pensais que c'était un don que tout le monde n'avait pas. Aussi, je pensais que tout le monde ne pouvait pas faire bien en maths, et semblablement, je pensais que je ne pouvais jamais faire le français.
Cet été mon épouse m'a fait prendre un cours d'immersion français aux Québec. Je n'étudiais jamais le français sérieusement, donc j'ai pensé qu'il serrait trop difficile pour moi, et je n'y voulais pas aller. J'avais une mentalité figée.
On dit souvent que les mathématiques sont comme une langue, et si cette idée est vrai, on peut comparer les deux. J'ai passé seulement deux mois aux Québec, mais chaque jour je pratiquais la langue verbalement et en langage écrit---je n'avais jamais le temps pour lire beaucoup. Je pratiquais tout le temps et j'améliorais.
J'améliorais beaucoup, mais au début j'ai pensé qu'il ne marchait pas pour moi. Après deux semaines, j'étais découragé et j'ai réfléchi à ma situation. Sans mon épouse, ni ma maison, ni mon chien, ni mes amis. J'étais sans espoir, et il restais trois semaines de l'école.
Évidemment, j'apprenais un peu de français, et peut-être plus d'un peu. Je suis certain de faisais beaucoup d'erreurs---probablement, dans cette phrase---et ce post me prend une éternité d'écrire. Mais j'essaie.
Si les mathématiques sont comme une langue, on a besoin de pratiquer souvent. On a besoin de croire qu'on peut faire les mathématiques. On a besoin d'une mentalité de croissance, parce que c'est une mentalité de croissance qui permet à quelqu'un d'apprendre vraiment les mathématiques. Car si tout le monde étudie les mathématiques chaque jour à l'école, pourquoi est-ce que c'est difficile pour beaucoup de gens? Pourquoi est-ce que le plupart de gens deteste les mathématiques? C'est les mentalités figées qu'arrêtent la connaissance. Comme moi avec le français, des élèves croient elles ne peuvent pas faire les mathématiques.
Nous avons besoin de changer nos mentalités et les mentalités de nos élèves, parce que si je peux apprendre le français en deux mois, des élèves peuvent apprendre les mathématiques à l'école.
Cet été mon épouse m'a fait prendre un cours d'immersion français aux Québec. Je n'étudiais jamais le français sérieusement, donc j'ai pensé qu'il serrait trop difficile pour moi, et je n'y voulais pas aller. J'avais une mentalité figée.
On dit souvent que les mathématiques sont comme une langue, et si cette idée est vrai, on peut comparer les deux. J'ai passé seulement deux mois aux Québec, mais chaque jour je pratiquais la langue verbalement et en langage écrit---je n'avais jamais le temps pour lire beaucoup. Je pratiquais tout le temps et j'améliorais.
J'améliorais beaucoup, mais au début j'ai pensé qu'il ne marchait pas pour moi. Après deux semaines, j'étais découragé et j'ai réfléchi à ma situation. Sans mon épouse, ni ma maison, ni mon chien, ni mes amis. J'étais sans espoir, et il restais trois semaines de l'école.
Évidemment, j'apprenais un peu de français, et peut-être plus d'un peu. Je suis certain de faisais beaucoup d'erreurs---probablement, dans cette phrase---et ce post me prend une éternité d'écrire. Mais j'essaie.
Si les mathématiques sont comme une langue, on a besoin de pratiquer souvent. On a besoin de croire qu'on peut faire les mathématiques. On a besoin d'une mentalité de croissance, parce que c'est une mentalité de croissance qui permet à quelqu'un d'apprendre vraiment les mathématiques. Car si tout le monde étudie les mathématiques chaque jour à l'école, pourquoi est-ce que c'est difficile pour beaucoup de gens? Pourquoi est-ce que le plupart de gens deteste les mathématiques? C'est les mentalités figées qu'arrêtent la connaissance. Comme moi avec le français, des élèves croient elles ne peuvent pas faire les mathématiques.
Nous avons besoin de changer nos mentalités et les mentalités de nos élèves, parce que si je peux apprendre le français en deux mois, des élèves peuvent apprendre les mathématiques à l'école.